A la demande générale ou presque, ce jeudi était dédié au logiciel                     Adobe Lightroom Classic, LRC pour les intimes. Il faut croire l'intérêt qui lui est porté puisqu'une bonne majorité du club était au rendez-vous, une vingtaine,                    pour entrer dans les arcanes de cet outil qui remplace le bon vieux laboratoire                  argentique où les odeurs plus ou moins nocives flattaient les narines.

J'insisterai sur le fait qu'ici, nous parlons de LR Classic à ne pas confondre avec                             LR cloud qui travaille sur le même principe de base mais avec quelques différences    
comme la notion de cloud où sont stockées les photos. Il est à noter que ces deux      logiciels peuvent communiquer ensemble par synchronisation.
    
LRC a pris la relève sans toutefois effacer son ancêtre du monde photographique             puisque celui-ci est toujours utilisé par un afficionado du grain d'argent, je veux parler de notre ami Dominique Lagnous qui ne demande qu'à entraîner des curieux dans   
son sillage. A ce propos, je rappelle que notre labo a retrouvé ses pénates dans          les locaux de Ma Campagne.Il reste donc à le remettre en état de marche pour plonger   
dans les cuvettes et faire resurgir la magie qui émane de ce processus ancestral.     

Je ne vais pas refaire la présentation Lightroom que vous pouvez charger ici et ce    
durant 7 jours à compter d'aujourd'hui : https://we.tl/t-PfuTNROjEl 
         
LR Classic est à la fois un outil de développement de vos fichiers numériques et             un gestionnaire de votre photothèque. Ce deuxième point implique que si vous prenez cette option que je vous recommande fortement, il ne sera plus question de gérer vos   
dossiers photos à travers l'explorateur de votre système Windows ou Mac, sinon              LRC y perdra son latin et vous aussi par la même occasion.                              
Autre recommandation est de shooter en RAW, ce qui donne une latitude maximum de           traitement ultérieur sous LRC tout en sachant que ce logiciel est NON destructif,      c'est à dire qu'il n'altère jamais le fichier de base.                                       Une dernière précision, le catalogue LRC est l'épine dorsale de ce logiciel.               Un seul catalogue est recommandé. Celui-ci peut gérer des milliers de photos avec                  les informations de localisations physiques et d'interventions appliquées en termes de traitements, de tris, de mots-clés etc ...                                                               Sa sauvegarde est donc essentielle et se fera sur un disque externe par sécurité. 

Je reviendrai sur ces modalités lorsqu'on abordera plus en détails la gestion de ce catalogue au travers des différents modules composant LRC comme ces deux essentiels  que sont la Bibliothèque et le Développement. 

N'hésitez pas à poser toutes les questions qui vous viennent ou viendront à l'esprit
Je tenterai de vous répondre en fonction de mes connaissances et de celles qui sont déjà utilisateurs.trices de LRC. 

Je vous remercie pour votre attention lors de cette soirée et de vos questions                  auxquelles j'espère avoir répondu sans vous plonger d'avantage dans la perplexité.
A bientôt pour la suite de l'immersion dans LRC.     

J'allais oublié que nous avons terminé la séance par un pot de l'amitié autour de la galette des Rois, je ne dirai pas de LRC mais ça viendra.

Photos de Marc Forestier.   Merci Marc                                
         
Début de séance malgré quelques retardataires
Pour le moment ça rigole encore un peu …
Commencent les abîmes de perplexité jusqu’à l’endormissement, n’est-ce pas Tilia?