Hello !
Oui, je sais, c'est un peu tard pour faire le CR de la dernière réunion du club. 
Jeudi dernier était réservé aux oiseaux de nuit. Une bonne quinzaine s'était donnée rendez-vous au club afin de former quelques groupes par accointance des projets nocturnes :  Quatre au total.Je ne sais plus qui était avec qui mais pour ma part,            Claudine et Karine m'ont accompagné du côté de Magélis.Un autre s'est enfoncé            bravement dans la nuit, les pieds sur les épaules, se dirigeant vers la gare où                   Pierre-Emmanuel devait les y rejoindre. Vous pouvez voir quelques unes des photos          prises par PE ici https://www.facebook.com/pierreemmanuel.dufermont                          D'autres ont sauté dans les voitures pour se rendre sur le parking de Guez de Balzac puis de battre les pavés du Centre ville. Enfin, un dernier est allé du côté              de  l'Houmeau pour capter les scintillements de la ville sur les eaux tumultueuses  de La Charente. 

Je ne saurai vous en dire plus puisque je me baladais en compagnie de mes deux             gardes du corps au féminin sur le parvis Magélis. Karine a découvert le maniement en mode manuel de son boîtier . Après quelques hésitations, l'indispensable assimilé         elle s'est attelée à prendre quelques clichés. Sauf qu'en vitesse pas très rapide,      il est difficile d'obtenir une photo nette surtout que Karine avait oublié son pied. Elle en a bien deux qui, dans ce cas, ne lui servirent pas à grand-chose.Pourtant,  jeunesse aidant, les tremblements maîtrisés, elle en a réussi certaines et loupé pas mal d'autres jusqu'à ce qu'elle réalise qu'en s'appuyant sur un support à portée de main, elle allait prendre son pied si j'ose dire.                                               C'est en photographiant que l'on devient, non pas forgeron, mais photographe.          Pendant ce temps, Claudine, dans un silence absolu, peaufinait ses cadrages tout en se battant avec la mesure de la lumière. Nous avons ainsi arpenté les alentours,         salué et rendu hommage à Corto Maltese en lui tirant le portrait. Sa silhouette              d'argent, fière et altière, se profilant dans la nuit noire, a immanquablement          attiré notre regard. Une rafale de cliques ne lui fit même pas baisser le museau.            Il est resté là, impassible dans sa rigidité éternelle. Plus loin, un escalier nous a tendu ses marches pour nous amener au pied de quelques graffs hilares                     que nous avons immortalisés avant une détérioration prochaine.     
Notre périple s'est terminé devant les anciens locaux du Nil où Isabelle, Florence, Jean-Claude et Mickaël nous ont rejoints. Il était déjà 23h passées quand nous nous sommes séparés avant de rejoindre les bras de Morphée.                                  Je suis sûr que toutes et tous nous avons rêvé de ces magnifiques photos                  que nous aurions pu faire et que nous avons pas faites.                                  Ce sera pour une prochaine fois. 

Pour illustrer cet article, je n'ai que mes photos à montrer mais ce prochain jeudi (30 novembre) nous verrons et commenterons  ensemble la production de chacun.   
A bientôt 
ChB Graffs hilares
ChB Corto Maltese
ChB Silence sur le Nil
ChB 23h